Non, je ne vais pas parler de Simone Veil et de l'assasinat ( à mon avis, pour sur ) , de miliers de petits enfants. Je vais parler de la culture de la mort comme on l'entend au Japon. Un dicton japonais pourrait nous résumer la philosophie de cette idéologie :
- Citation :
- La mort est légère comme une plume et le devoir est lourd comme une montagne.
Ce que appelle l'attachement à la vie occidental n'est simplement qu'un dérivé de la morale christiano-judaique. Le japonais n'a aucun attachement à la vie d'un point de vue simplement philosophique, car le japonais vaut peu par apport à la société .
Quasiment en reprenant un concept formulé par Saint Augustin , celui du cancer de la société, les japonais jugent que l'individu en tant que tel ne vaut que très peu . L'individu ne vaut seulement quand il est part d'un groupe. Néanmoins, je vais reprendre ce concept dans un autre topic, mais ce plus tard.
En revenant à notre culture de la mort, elle a été introduite aussi par les moines zens, qui jugent la vie que un genre de souffrance. Donc, pour le Japonais, la vie n'a pas d'importance, car elle n'est qu'un passage. La philosophie Kami reflète un peu les idées d'Aristote : les corps n'est que l’agrégation de différents élèments.
Le bushi du samouraï est d'ailleurs très clair : l'homme n'est que un bout d'une muraille qui protège un Damyo et rien de plus. C'est donc le concept de societé de la honte qui régit la mentalité d'un japonais.